La période d'exploitation au Théâtre est terminée.
Entre rock, poésie soufie, jazz, spoken word et volutes orientales, Le Cri du Caire transcende les identités et les frontières. Le souffle du saxophone de Peter Corser, les cordes « barocks » de Karsten Hochapfel, et les envolées du trompettiste Erik Truffaz, accompagnent la voix saisissante d’Abdullah Miniawy, jeune poète, chanteur emblématique d’une jeunesse égyptienne avide de liberté et de justice.
Empreint de spiritualité et de liberté, ce chant soufi nous porte vers la transe, nous conduit dans un voyage mystique, portant les espoirs des peuples aux voix muselées face aux oppressions politiques, sociales et religieuses.
LA PRESSE EN PARLE
Le Cri du Caire, c'est d'abord une voix qui semble venue des cieux. C'est aussi le plaisir d'entendre de l'arabe littéraire qui nourrit ces psalmodies soufies qui parlent de ce que vit le jeune Égyptien aujourd'hui installé en France. Abdullah Miniawy semble dans un état second. Le public, lui, finira debout pour saluer Le Cri du Caire. Lelian - Courrier de l'Ouest
A fleur de peau, Miniawy met notre coeur en transe, accompagné par les modulations continues du saxophoniste Peter Corser, l'archet baroque du violoncelliste Karsten Hochapfel et les volutes aériennes du trompettiste Erik Truffaz. Chaque morceau se termine par un silence abrupt : Abdullah Miniawy, intense, se tait brusquement, alors que l'on voudrait qu'il ne s'arrête jamais. Anne Berthod - Télérama
Chant, textes : Abdullah Miniawy
Saxophone : Peter Corser
Violoncelle : Karsten Hochapfel
Trompette : Erik Truffaz
Composition : Abdullah Miniawy, Peter Corser
Production artistique : Blaise Merlin
Son : Anne Laurin
Lecture : Corentin Gallet
Tarfi A